Le rapport des comptes de la BAI par KPMG pour 2010 était déjà alarmiste. Les auditeurs avaient mis à jour que le groupe n’avait plus assez d’argent: l’absence de cash ne pouvant être valablement compensée par les réévaluations (fair value) d’investissements. La seule source d’argent «frais» était le Super Cash Back Gold, lui aussi en déficit actuariel croissant. En somme, pour payer les assurés, il fallait du cash, donc toujours plus d’assurés. Une spirale sans fin. Cependant, contrairement à ce que l’on peut penser (voir schéma I), les Rs 3,6 milliards qui apparaissent dans les comptes de la BAI, la veille de l’année 2010, pourraient ne pas être qu’une «pirouette» sans substance…
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